Près du Berceau
Près du berceau
La nuit venue, la tristesse se glisse dans l’ombre,
Mais jamais, elle n’atteindra le berceau où repose
l’enfant qu’une mère protège d’un amour sans limites,
Un ouvrage à la main, elle veille sur son sommeil
et prie le ciel de protéger sa fille, chaque jour que Dieu
fait éclore,
Paisible, l’enfant dort, il ne connaît pas sa misère,
Elle dort du sommeil de son âge, sans soucis
et sans crainte,
Riche de l’amour que lui prodigue sa mère.
Michel Devillers